De nos jours, le corps n'est pas seulement réifié, mais abusé, conquis, démantelé. Les auteurs réunis dans le premier chapitre restent à l'abri de la fiction, en présentant leurs recherches littéraires. De même le deuxième chapitre traite de la littérature maghrébine, le prétexte littéraire servant à la protestation. Le troisième chapitre fait le saut de la littérature au social à travers récits cliniques, psychologiques, sociologiques : on y découvre l'indicible trauma corporel qui mène à la chute d'une personne, d'une destinée.