Ce livre est le dernier que nous avions publié de Christian Bobin en 2011 : presque immédiatement épuisé il manquait depuis bientôt une décennie. Sa poésie garde la fraîcheur des premiers volumes mais porte cette fois sur un peintre inconnu, ou «le peintre inconnu» pourrait-on dire, comme tant d’autres, gardien de musée, se cachant pour dessiner des portraits solitaires.